mercredi 11 février 2009

Samedi 7 Février 2009

La veille la météo annonçait une vague de chaleur sans précédent sur Melbourne est sur tout l’état du Victoria. Effectivement lorsque l’on est sorti de l’auberge vers 10h du matin, il devait déjà faire au alentour des 37° à l’ombre pffouaaa. Le programme était simple, continuer la tournée des auberges de jeunesse pour glaner des informations. Comme d’habitude on rencontre des français et comme d’habitude des français qui galère. Ce matin une française arrivé depuis 1 mois, et qui va enfin commencer à travailler comme femme de ménage dans un hôtel, grâce à un contact à elle ….1 mois sans bossé rien qu’à chercher du travail. Qui a dit : l’Australie c’est le paradis pour le travail …..Avis à tous les messages sur les blogs et forums. En fin de matinée la chaleur est étouffante, et plombante, le vent souffle mais d’une chaleur phénoménale. On recherche désespérément, depuis la veille un café avec une connexion wifi gratuite. Après quelques heures à marcher enfin, on se pose dans un café au centre de Melbourne avec la fameuse connexion tant rechercher pour envoyer, enfin, messages, nouvelles et trouver infos précieuse pour le travail.
Coup de hasard ou coup de chance, un message vient d’être posté via le forum Australie Australia concernant la recherche en Fruit Picking de 10 français. Benoit appel, le couple, 2 français (Mélanie et Maxime) arrive en ville, c’est la super occasion pour les rencontrés et discutés avec eux de ce plan.
Après X litres de boissons commandés au bar, Mélanie et maxime arrivent, les discussions peuvent enfin commencer et voir ce qu’il en ai exactement.
Après quelques heures et un bon feeling de part et autre (enfin je pense), on les conduit à la gare ou ils partent direction Shepparton à 2H30 de train au nord de Melbourne. De notre coté on doit les rejoindre le lendemain, pour un rdv avec le fermier pour connaitre les modalités de travail.
Je me disais, purée si on commence à bosser lundi, cela serait vraiment génial, cela fait à peine 5 jours qu’on est arrivé, ca serait parfait de chez parfait. Il y en a qui galère pendant des semaines et finalement en cherchant bien, quelques contacts, et comme je dis toujours, désolé pour l’expression cru, mais quand on se sort le doigt du cul on y arrive. En plus cela tombe bien la réservation de l’auberge ou nous sommes, expire le lendemain, parfait.

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